Avocat en Réparation du Préjudice Corporel à Lille

Quand on est victime d’un accident de la route, soi-même ou l’un de nos proches, il est important d’adopter la bonne démarche pour avoir la réparation du préjudice corporel qui s’impose.

Et la seule solution qui vaille pour obtenir les dommages et intérêts en adéquation avec l’atteinte et les séquelles dont on est victime, est de faire appel à un avocat dont c’est la discipline.
Avocat dans la réparation de préjudice corporel à Lille et dans les Hauts-de-France, Maître Régley, fort d’une collaboration avec des consultants indépendants, vous aide à obtenir les sommes conséquentes.

Traumatismes crâniens

Chez l’adulte

Les traumatismes crâniens sont très fréquents dans les cas graves d’accident de la route.

50% des traumatismes crâniens sévères sont causés par un accident de la voie publique, en particulier chez les jeunes, chez qui ils constituent la première cause de mortalité.

On classe les traumatismes crâniens en trois niveaux de gravité :

  • Léger : perte de connaissance de quelques minutes. Absence de souvenir du choc et des circonstances. Cette amnésie dure généralement moins de 24 h

  • Modéré : la perte de connaissance est plus importante et l’amnésie est plus longue

  • Sévère : la victime est dans le coma. Avec un score de Glasgow inférieur à 8

C’est quoi le score de Glasgow ?

Le score de Glasgow ou « échelle de Glasgow » indique l’état de conscience d’un patient. Ce score est généralement utilisé dans un contexte d’urgence pour adopter une stratégie rapide dans le but de maintenir les fonctions vitales. Il permet également de « graduer » l’importance d’un coma et les conséquences d’un traumatisme crânien.

Cette graduation va de 3 à 15 selon des critères précis.

L’échelle de Glasgow Liège associe l’étude des réflexes du tronc cérébral à l’échelle de coma de Glasgow. Elle évalue avec plus de précision la profondeur du désordre encéphalique. Les scores additionnés possibles vont de 3 à 20.

Quelles séquelles selon la gravité ?

  • Trauma léger : maux de tête, vertiges, fatigue, troubles de l’humeur et cognitifs (perte de mémoire, difficulté à se concentrer...

  • Trauma modéré et sévère (la gravité des séquelles n’est pas la même mais on peut les lister ensemble) : troubles de la marche, mauvaise coordination des mouvements, altération de l’équilibre, difficulté à avaler, épilepsie, hémiplégie, tétraplégie, troubles de l’humeur, troubles de la mémoire, difficultés à raisonner, à se concentrer, à s’organiser, troubles hormonaux, altération de la conscience

Ces traumatismes peuvent être la source de lésions dites primaires (qui apparaissent immédiatement) ou secondaires (qui apparaissent plusieurs heures, jours ou semaines après le « choc »).

Les primaires sont les fractures de la voûte du crâne et celles de la base du crâne. Si une fracture peut ne pas présenter de gravité en tant que telle, elle peut provoquer des lésions de l’encéphale, primaires et secondaires, bien plus traumatisantes (Commotion cérébrale, contusion cérébrale et hématome sous-dural aigu.

  • Commotion cérébrale : responsable d’une perte de connaissance immédiate

  • Contusion cérébrale : responsable de troubles du comportement ou un léger déficit moteur

  • Hématome sous-dural aigu : responsable de paralysie, et de troubles de la conscience

Les secondaires se traduisent notamment par des hématomes intracrâniens. Ils représentent un danger très important résidant dans la compression cérébrale. Un scanner permet de les diagnostiquer

  • Hématomes extra-duraux : responsables de maux de tête et de troubles de la conscience

  • Hématomes sous-duraux chroniques : responsables de maux de tête, d’hémiplégie, d’aphasie, de confusion ou de troubles du comportement.

Chez l’enfant

Les traumatismes crâniens sont évalués différemment chez l’enfant. L’échelle de Glasgow est applicable.

La littérature scientifique répartit les traumatismes en 3 groupes.

  • Groupe à très faible risque : enfants de plus de 2 ans. Plaies superficielles. Maux de têtes et ou vertiges

  • Groupe à risque intermédiaire : enfants de moins de 2 ans. Perte de connaissance ou vomissements, amnésie de l’accident

  • Groupe à risque élevé : trouble de la conscience immédiat (somnolence, apathie). Troubles arrivant dans un second temps.

Quel est le rôle de l’avocat ?

Votre avocat en accident de la route à Lille est présent, tout au long de la procédure, accompagné de son équipe de médecins et professionnels pour convaincre le juge ou l’assureur de la réalité et de l’importance de votre traumatisme dans le but d’obtenir la meilleure indemnisation pouvant se chiffrer en dizaines, centaines, voire millions d’euros.

Handicaps

« Est handicapée toute personne dont l’intégrité physique ou mentale est passagèrement ou définitivement diminuée, en sorte que son autonomie, son aptitude à fréquenter l’école ou occuper un emploi s’en trouvent compromises » (source m OMS).

Il existe plusieurs types de handicap :

  • Moteur (paralysie, parésie, hémiplégie, tétraplégie)

  • Mental

  • Auditif (surdité)

  • Visuel (cécité)

  • Psychique

  • Troubles de l’apprentissage...

L’important rôle de votre avocat en réparation du préjudice corporel

Tous les handicaps bouleversent évidemment la vie de celui qui les rencontre. Le premier rôle de l’avocat est, avant tout, humain. L’avocat, pour porter la voix de son client, doit présenter une qualité d’écoute exceptionnelle. L’empathie, l’humanisme et la tolérance doivent faire partie de son « logiciel ».

Son second rôle est d’obtenir, pour vous, la meilleure indemnisation possible afin de couvrir tous les frais attachés à cette nouvelle situation.

Ces frais peuvent être très nombreux (achat de matériels adaptés, achat d’une nouvelle maison adaptée, d’un terrain pour construire... frais de tierces personnes plusieurs heures par jour pour vous aider... compensation de salaire pour un métier que vous ne pouvez plus exercer, dédommagements pour les loisirs dont ne vous pouvez plus jouir... la souffrance physique et mentale endurée.... et tant d’autres).

Les assureurs ont tendance à en oublier certains ou à les minorer. Et pour cause ! Ce sont des dizaines, des centaines de milliers d’euros en jeu, voire des millions.

L’avocat est donc là, avec son équipe, pour vous accompagner dans toutes les démarches tendant à l’indemnisation, devant les juridictions civiles ou pénales.

Atteintes de la moelle épinière

Avant toute chose, il est important de préciser que la plupart des paralysies causées par des lésions médullaires dues à un accident son partiellement récupérables.

La paralysie fait partie des troubles connus du grand public. Il faut bien distinguer la paralysie, qui est l’absence totale de mouvements d’un ou de plusieurs muscles du fait de la lésions des muscles eux-mêmes ou du système nerveux qui permet leur fonctionnement, de la parésie (les mouvements ne sont pas absents mais très faibles).

On parle de paraplégie quand il existe une paralysie de la moitié inférieure du corps, d’hémiplégie quand un côté du corps est concerné et de tétraplégie quand les 4 membres sont concernés.

Mais les troubles moteurs ne sont pas les seules conséquences d’une atteinte de la moelle épinière.

Selon le niveau de la lésion, des troubles sphinctériens, sexuels, des difficultés respiratoires, des spasmes de certains muscles peuvent apparaître. Des atteintes rénales ou des infections pulmonaires graves peuvent également être des conséquences dramatiques.

Il est donc très important que votre avocat, entouré de personnels médicaux, connaissent ces éléments pour les faire valoir aux personnes chargées de vous indemniser.

L’important rôle de l’avocat

Tous ces handicaps bouleversent évidemment la vie de celui qui les rencontre. Le premier rôle d’un avocat en accident de la route comme Maître Régley est, avant tout, humain. L’avocat, pour porter la voix de son client, doit présenter une qualité d’écoute exceptionnelle. L’empathie, l’humanisme et la tolérance doivent faire partie de son « logiciel ».

Son second rôle est d’obtenir, pour vous, la meilleure indemnisation possible afin de couvrir tous les frais attachés à cette nouvelle situation.

Ces frais peuvent être très nombreux (achat de matériels adaptés, achat d’une nouvelle maison adaptée, d’un terrain pour construire... frais de tierces personnes plusieurs heures par jour pour vous aider... compensation de salaire pour un métier que vous ne pouvez plus exercer, dédommagements pour les loisirs dont ne vous pouvez plus jouir... la souffrance physique et mentale endurée.... et tant d’autres).

Les assureurs ont tendance à en oublier certains ou à les minorer. Et pour cause ! Ce sont des dizaines, des centaines de milliers d’euros en jeu, voire des millions.

L’avocat est donc là, avec son équipe, pour vous accompagner dans toutes les démarches tendant à l’indemnisation, devant les juridictions civiles ou pénales.