Résumé de la négociation
Avant avocat Régley : 1 500 euro
Après avocat Régley : 27 000 euros
Qui est la victime ?
Mme A.D a subi un accident de la route dont la gravité n’est pas trop importante, selon ses dires.
Dans un premier temps, Mme A.D pensait qu’un avocat de victimes de la route ne serait pas nécessaire. L’assureur payeur lui avait dit que cela ne servait pas à grand-chose. On lui disait que des barèmes étaient appliqués en fonction des conclusions de l’expertise médicale. Il ne servait donc à rien de prendre un avocat en indemnisation du préjudice corporel.
On lui expliquait – faussement – que l’intervention de l’avocat ne serait pas une bonne « opération » puisqu’il faudrait lui payer des honoraires.
Évidemment, il ne lui était pas dit que les honoraires de l’avocat des victimes d’accident de la route devaient être payés par l’assurance ou sa protection juridique… et que, à la fin, cela ne représenterait donc pas une dépense pour elle.
Madame A.D attendait de longs mois la proposition de l’assurance. Elle finissait par recevoir le courrier d’offre d’indemnisation qui lui proposait… 0 euro. En effet, déduction faite des provisions déjà versées, l’assurance estimait qu’il ne lui restait plus rien à payer. Elle était incitée à signer.
Elle contactait alors Me Antoine Régley, avocat de victimes d’accidents de la route, bien que n’étant pas de sa région. Elle avait entendu parler du Cabinet sur les réseaux sociaux.
Ce que l’avocat indemnisation préjudice corporel Dintilhac a apporté ?
A la lecture de l’offre, Me Régley, avocat indemnisation de victimes de la route, constatait que des postes de préjudice avaient été oubliés. D’autres avaient été minimisés.
Il proposait donc à la victime de contester cette offre en prenant contact avec le gestionnaire de l’assurance.
En quelques semaines, Me Régley, avocat indemnisation du préjudice corporel, réussissait à obtenir 27 000 euros, loin des … 1 500 euros.
Cette affaire démontre plusieurs choses :
- Dans 99% des cas, l’avocat préjudice corporel fait augmenter les offres ;
- En quelques coups de fil, un avocat compétent en la matière, et connu des compagnies d’assurance, change la donne ;
- A supposer même que l’intervention de l’avocat ne soit pas prise en charge par l’assurance – ce qui doit être le cas normalement -, le bénéfice de son intervention, pour la victime, est largement rentabilisé.
- Demandez toujours à un avocat ce qu’il pense de l’offre de l’assurance avant de l’accepter.