Qui est la victime ?
Monsieur J.G est un homme de 38 ans au moment de l’accident. Marié. Deux enfants. Sportif, il aime courir, jardiner et profiter d’un corps dont il prend soin. Motard, il effectue de nombreuses sorties avec ses amis. Il travaille comme employé polyvalent, conduisant des engins nécessitant de posséder le CACES, et portant des charges de 5 à 40 kilos.
Un soir d’avril 2019, rentrant chez lui à moto, il s’engage dans un rond-point. Une voiture garée juste avant le carrefour redémarre sans le voir, et le percute de plein fouet. Monsieur G vole sur plusieurs mètres avant de retomber violemment au sol. Il souffre d’une grave entorse au genou, avec rupture des ligaments croisés, d’une rupture du tendon poplité, d’une fracture de la main et du poignet. Il est opéré à plusieurs reprises.
Suite à son accident de moto, des amis conseillent à M.G de prendre contact avec une association de victimes très en vogue sur Internet. Il est rapidement rappelé pour lui donner le numéro d’un avocat travaillant avec elle, dans la région parisienne. Monsieur G. est un peu perdu est déçu de ce contact. Il se tourne alors vers quelques réseaux sociaux et forum le conseillant d’appeler maître Antoine Régley, avocat en accident de la route à Lille. Il fait ses recherches et constate que les avis sont bons. Bien qu’éloigné de plusieurs kilomètres, il décide de lui faire confiance pour prendre en charge l’indemnisation de son accident de moto.
Maître Antoine Régley, avocat du préjudice corporel et des victimes d’accidents de la route prend alors contact avec l’assurance du véhicule responsable. Le contact n’est pas très bon, cette assurance n’ayant pas la réputation d’être très généreuse avec les victimes. Vient le jour de l’audience au tribunal. L’auteur de l’accident est jugé et est condamné. Maître Régley en profite pour demander à la juridiction de désigner un expert neutre et solliciter une provision intéressante. Les deux demandes sont satisfaites.
Commence un long travail de préparation à l’expertise. Cette dernière se déroule sans souci. La victime et son conseil obtiennent ce qu’elles attendaient. Les séquelles de la victime s’estompent petit à petit. Malheureusement, certaines restent. M.G est licencié de son travail après une visite médicale défavorable. Heureusement pour lui, et à force de courage, il retrouve un travail. Cette reprise d’une profession est une bonne nouvelle. Sur un plan indemnitaire, elle empêchera, évidemment, une somme plus importante. Mais l’important n’est pas là. Ce qui importe, c’est que M.G puisse trouver un travail qui lui va.
Après plusieurs renvois du dossier à l’audience de Liquidation de Dommages et Intérêts (LDI), le dossier est appelé. C’est le moment que choisit l’assurance pour nous envoyer une offre, qui s’était faite attendre.
Après prise de contact avec maître Antoine Régley, avocat négociation assurances accident de la route, l’assurance finit par proposer 186 000 euros (la somme était encore plus basse en début de négociation). Cette somme est importante. Si M.G avait été plus jeune, elle aurait été plus conséquente. S’il avait été plus âgé, elle aurait été moindre. Pourquoi ? Parce que nombre de postes de préjudices prévus par la nomenclature Dintilhac sont dépendants de l’âge de la victime.
Après entretien avec M.G, maître Régley, avocat nomenclature Dintilhac préjudice corporel, la victime ne sait pas quoi faire. Accepter ? Refuser ? Elle demande son avis à l’avocat qui lui indique qu’il ne peut pas prendre une décision à sa place, mais en concertation. Maître Régley lui dit qu’il espère évidemment plus, et qu’il fera tout pour. M.G donne donc son feu vert pour aller au bout.
Le résultat est édifiant. Devant le tribunal, maître Antoine Régley, avocat blessures involontaires, avocat homicide routier, obtient … 313 000 euros. Aussi, est-ce une augmentation de près de 70% d’augmentation qui a été obtenue par maître Régley pour Monsieur G pour l’indemnisation de son accident de moto.